InternetL'auteur a 1,9 k rĂ©ponses et 380,4 k vues de rĂ©ponse 2 ans. A distinguer ce qui est vrai de ce qui est faux, La vĂ©ritĂ© conduit vers le bien,et le bien (les bonnes actions) conduisent vers le Paradis . Le monsonge conduit vers le mal, et le mal conduit vers l enfer. Hadith du messager de Dieu sur lui le salut et la paix. Jugementaussi sĂ©vĂšre que classique, mais fort contestable : en vĂ©ritĂ©, il est un bon usage du doute sceptique, qui reprĂ©sente une magnifique expĂ©rience de la libertĂ© de la pensĂ©e. En dĂ©voilant l’inessentialitĂ© de ce qui semble avoir une validitĂ©, le doute sceptique dissout tout clans la conscience de soi. Parce qu ‘il est la Ledocument : "Douter, est-ce renoncer Ă  la vĂ©ritĂ© ?" compte 3238 mots.Pour le tĂ©lĂ©charger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grĂące Ă  notre systĂšme gratuit d’échange de ressources numĂ©riques ou achetez-le pour la somme symbolique d’un euro. Lapersuasion ne peut donc pas, Ă  la vĂ©ritĂ©, se distinguer subjectivement de la conviction, si le sujet a devant les yeux la crĂ©ance simplement comme un phĂ©nomĂšne de son propre esprit ; l'Ă©preuve que l'on fait sur l'entendement d'autrui des raisons qui sont valables pour nous, afin de voir si elles produisent sur une raison Ă©trangĂšre le mĂȘme effet que sur la nĂŽtre, Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Amis, soyez remerciĂ©s de vous intĂ©resser Ă  la question de la vĂ©ritĂ©. En avançant avec cette question et avec la volontĂ© de vous libĂ©rer de tout dogme et de toute croyance, vous ouvrez une voie Ă  l’humanitĂ© Ă  venir. Votre Ă©tat de conscience moyen reste un Ă©tat d’ignorance de la vĂ©ritĂ©, non pas parce que vous n’avez pas les bonnes informations, mais justement parce que vous vous arrĂȘtez aux informations que vous recevez sans chercher Ă  regarder plus loin, vers lĂ  d’oĂč elles proviennent. Je voudrais, une fois de plus, vous faire voir que la vĂ©ritĂ© n’est pas histoire de croyance, mais histoire de choix. Tu veux dire que chacun choisit sa vĂ©ritĂ© ? Non. Je veux dire que chacun a le choix de faire un chemin intĂ©rieur avec pour but d’apprendre Ă  discerner de mieux en mieux ce qui est mensonge et ce qui ne l’est pas. C’est une capacitĂ© individuelle que personne ne peut cultiver Ă  votre place. Tant que vous ne la dĂ©veloppez pas, vous restez l’objet de toute forme possible de manipulation. Mais vous n’ĂȘtes manipulables que parce que vous avez dĂ©cidĂ© de croire. Je dĂ©signe par croire le fait de remettre votre confiance en une instance extĂ©rieure Ă  vous, qu’il s’agisse de quelqu’un ou d’un dogme collectif. Je remets entre vos mains votre responsabilitĂ© par rapport Ă  votre statut manipulable. Comment ne pas ĂȘtre manipulable alors ? C’est trĂšs simple, en quittant le doute. Quitter le doute ne signifie pas renoncer Ă  l’esprit critique. Je pourrais rire de cette phrase, parce que vous n’avez pas les bons mots, tellement cette notion n’est pas encore ancrĂ©e dans votre comprĂ©hension. Quitter le doute EST le seuil du discernement. Quitter le doute ne signifie pas se mettre Ă  croire en tout et n’importe quoi, c’est au contraire une posture qui vous Ă©veille Ă  la possibilitĂ© de ne croire en rien. C’est-Ă -dire d’arrĂȘter de vous mouvoir dans les paires d’opposĂ©s, dont le vrai et le faux ne sont que des exemples. Que suggĂšres-tu pour quitter ce rĂ©flexe de classer en vrai ou faux ? Il y a bien des choses qui sont vraies et d’autres qui sont fausses, non ? Je tente d’élever ton regard. LĂ  oĂč tu es, oui, il y a des choses vraies et d’autres fausses. Tu peux passer ta vie Ă  continuer Ă  classer les informations que tu rencontres dans une case ou l’autre, selon les critĂšres les plus objectifs possibles ». C’est un sport mental que certains affectionnent parce qu’il donne l’illusion de l’intelligence Ă  ceux qui le pratiquent. C’est une voie sans issue. Peux-tu t’en rendre compte ? Souhaites-tu continuer Ă  vivre dans un monde de vrai et de faux, ou veux-tu enfin porter ton regard dans le monde juste au-dessus ? Je voudrais que tu me montres ce regard, que tu me l’expliques une fois encore. Peut-ĂȘtre qu’à force de t’y suivre, je parviendrai Ă  m’y maintenir. Tu as raison, c’est une sorte d’entrainement et d’imprĂ©gnation qui vous permettra d’y accĂ©der Ă  volontĂ©. Et ce dialogue est une forme d’entrainement et d’imprĂ©gnation. Ne plus ĂȘtre manipulĂ©, c’est une dĂ©cision. Une dĂ©cision radicale de reprendre absolument tout votre pouvoir crĂ©atif, sans plus dĂ©lĂ©guer Ă  personne la facultĂ© de penser pour vous. Dans cette pĂ©riode, beaucoup s’en remettent aux experts ». Beaucoup se disent Je ne m’y connais pas assez dans ce domaine pour prendre position. » Et je dois dire que c’est faire preuve d’humilitĂ© que de reconnaĂźtre notre incompĂ©tence, plutĂŽt que de se croire compĂ©tent. Ne penses-tu pas ? L’humilitĂ© vraie est effectivement une qualitĂ© qui manque Ă  bon nombre d’entre vous, ainsi que la logique Ă©lĂ©mentaire et le courage. L’humilitĂ© est une qualitĂ© que l’on pourrait qualifier de cardiaque ». Seule l’expĂ©rience peut vous en faire connaĂźtre le goĂ»t vĂ©ritable. Seul un long chemin parcouru vous fait toucher son Ă©vidence en profondeur. Accepter de voir que l’on ne sait pas, convenir de cet Ă©tat d’ignorance est noble, et en rĂ©alitĂ© simple bon sens. La logique Ă©lĂ©mentaire fait dĂ©faut Ă  bon nombre d’entre vous, aussi. Cela peut s’apprendre relativement rapidement et facilement. La logique est un entrainement du mental que tout le monde peut pratiquer, comme on pratique un sport ou un art. Le courage est une qualitĂ© qui se forge lentement, par chaque peur que l’on accepte de rencontrer et de questionner. Pour la rencontrer, il faut pouvoir la regarder et c’est ce regard qui ne flĂ©chit point qu’on peut appeler le courage. Quand l’humilitĂ© vous manque, ou plutĂŽt quand l’orgueil vous aveugle, ce qui est plus correct puisque l’humilitĂ© est votre Ă©tat d’origine, vous avez la possibilitĂ© de vous prendre pour ce que vous n’ĂȘtes pas. Cela vous rend totalement incapables du moindre discernement. L’orgueil est donc un premier frein Ă  la vĂ©ritĂ©. Quand la logique vous manque, vous ne pouvez pas dĂ©tecter les piĂšges mentaux tendus par vos adversaires. La logique est une force mentale et, comme en tout art, certains ont dĂ©veloppĂ© plus d’expertise que d’autres. Mais n’entendez pas par lĂ  que seul un mental affutĂ© vous prĂ©serverait des manipulations. Ce n’est pas l’outil essentiel. Il ne prĂ©serve que de la manipulation mentale, pour ceux qui se meuvent dans ce monde-lĂ . Mais ce monde-lĂ  n’est pas tout. Aujourd’hui, c’est surtout le courage qui vous fait dĂ©faut. Pourquoi le courage ? Parce que pour voir que vous ĂȘtes manipulĂ©s, il faut avoir le courage d’admettre que ce soit possible. Il faut le courage d’admettre que des ĂȘtres plus vifs que vous au niveau mental puissent profiter de votre immaturitĂ© en termes de souverainetĂ© individuelle. Mais la bonne nouvelle pour vous, c’est qu’il n’est pas nĂ©cessaire d’exceller dans le jeu des arguments pour vous sortir des manipulations actuelles, puisque ce que je vous propose est d’arrĂȘter de croire, d’arrĂȘter de faire confiance Ă  d’autres qu’à vous, d’arrĂȘter de vous appuyer sur des avis d’experts qui ne seraient pas vous, d’arrĂȘter de dĂ©lĂ©guer votre pouvoir Ă  d’autres. Mais il faut quand mĂȘme ĂȘtre bien informĂ© pour ne pas prendre de stupides dĂ©cisions, tu ne crois pas ? Hahaha ! Non, je ne CROIS pas, effectivement. Je n’ai aucun besoin de croire. Je choisis de prendre mes dĂ©cisions d’aprĂšs ce que je souhaite vivre. Est-ce si difficile Ă  comprendre ? Si je choisis de prendre des avis extĂ©rieurs, Ă©ventuellement plus experts que moi dans certains domaines, c’est bien moi qui choisis au final ce que j’en fais, d’aprĂšs la vie que je souhaite mener, d’aprĂšs l’aventure qui frappe Ă  la porte de mon coeur. Quand comprendrez-vous que vous ĂȘtes l’unique crĂ©ateur de vos vies ! Nous dĂ©pendons tous les uns des autres. Ce que l’un fait a un impact sur l’autre, donc on ne peut pas dire qu’on reste unique crĂ©ateur. Tu fais bien de relever ces incohĂ©rences de surface. Ce qui compte, ce ne sont pas les mots que je t’envoie, mais l’état de conscience que je tente de propager par leur intermĂ©diaire. Tout Ă©tat mĂ©connu de votre conscience ne peut ĂȘtre dĂ©crit que par des mots maladroits. C’est Ă©vident ! Si c’était un Ă©tat de conscience habituel pour vous, vous auriez dĂ©jĂ  inventĂ© un mot pour le dĂ©crire. Je vais donc m’exprimer autrement nul ne peut vous contraindre Ă  quoi que ce soit. Nul n’a le pouvoir de vous influencer, Ă  moins que vous n’ayez vous-mĂȘmes placĂ© ce pouvoir entre des mains qui ne sont pas les vĂŽtres. Et, je vous le dis, c’est ce que vous faites Ă  peu prĂšs tous depuis votre naissance sur cette sphĂšre. Il est temps, simplement, de passer au chapitre suivant. Et si celui-ci se nomme fraternitĂ© » – ou frasoritĂ©, comme tu le dis – il ne s’écrira pas sans son corollaire la responsabilitĂ© individuelle, ou plus prĂ©cisĂ©ment votre souverainetĂ© individuelle. Je comprends bien, mais comment veux-tu faire comprendre ça Ă  ceux qui vont te renvoyer des contre-arguments. En leur disant qu’ils ont bien le droit de me renvoyer leurs arguments. Ils sont maitres de leur destinĂ©e, comme chacun. Si leur choix de vie est d’argumenter, libre Ă  eux. Je m’adresse Ă  ceux qui sont fatiguĂ©s des dĂ©bats, des arguments et des contre-arguments. Je m’adresse Ă  ceux qui appellent de leur coeur une sociĂ©tĂ© bienveillante, libre, dans laquelle les rĂšgles ne sont en aucun cas imposĂ©es, mais librement consenties parce que choisies. Je suis sĂ»r qu’à la lecture de ces lignes, beaucoup ricanent, pensant C’est de l’idĂ©alisme. L’humain n’est pas prĂȘt Ă  vivre avec des rĂšgles consenties. Il faut bien imposer des choses aux rĂ©calcitrants, aux immatures, afin que la sociĂ©tĂ© fonctionne. » Pour que leur vision Ă©troite de sociĂ©tĂ© continue Ă  charrier son lot de souffrances, de manipulations, de prises de pouvoir et de crises sans fin
 oui. A ceux Ă  qui convient cette vie, je n’ai rien Ă  dire. Je suis lĂ  pour aider ceux qui appellent Ă  autre chose et qui savent que cette autre chose existe. Vous avez beaucoup d’aide en ce moment, justement pour pouvoir passer Ă  autre chose. On s’éloigne du sujet de dĂ©part la vĂ©ritĂ©. On tourne autour mais on ne s’en Ă©loigne pas. Il n’est pas aisĂ© de se rapprocher du coeur de ce message que je t’envoie. Je cherche tant bien que mal les phrases percutantes qui pourraient traduire impeccablement ce que tu m’envoies ! Oui, tu cherches et c’est en ça que le chemin se parcourt, que les mots se crĂ©ent, que les concepts vous atteignent. Il faut creuser un canal pour les nouvelles prises de conscience et c’est bien ce que nous faisons ensemble. Continuons ! Vous vivez vos croyances, mais vous ne vous rendez pas compte que vos croyances crĂ©ent vos vies. Tu dis ça, mais parlons concrĂštement ce virus, ces restrictions sans cesse plus liberticides que nous imposent nos gouvernements
 Sur quoi nous baser pour le contrĂŽle de cette pandĂ©mie, si ce n’est pas sur des arguments scientifiques ? Cessez de vous baser sur des arguments scientifiques. Votre science est devenue aussi dessĂ©chĂ©e que les dogmes poussiĂ©reux vĂ©hiculĂ©s par vos religions pĂ©trifiĂ©es. Ne remarquez-vous pas l’exacte reproduction d’un mĂȘme schĂ©ma qui se perpĂ©tue Ă  travers vos siĂšcles ? Votre science souffre aujourd’hui de la mĂȘme gangrĂšne que vos religions. Les religions sont des institutions de pouvoir temporel, créées par l’aviditĂ© des hommes, alors mĂȘme que le message sur lequel elles se basent est pure beautĂ©. Votre science est devenue un nouveau dogme, vĂ©hiculĂ© par de nouveaux prĂȘtres, toujours aussi avides de pouvoir, et capables de compromissions pour faire passer ce qui les arrange. Toujours la mĂȘme histoire. La science, l’avĂšnement de la logique, de la raison, des hypothĂšses et de leur vĂ©rification, tout cela est pure beautĂ© Ă  la base. La science nue est une lumiĂšre pour l’espĂšce humaine. Le problĂšme n’est pas la science, mais ceux qui s’en revendiquent les dĂ©tenteurs exclusifs. La science n’appartient Ă  personne, tout comme le message originel des religions. Nul dogme ne doit Ă©merger de ces merveilles, mais une envie toujours plus grande, plus belle et plus puissante de partir Ă  la dĂ©couverte des mystĂšres les plus profonds de la vie. La science qui doit s’argumenter elle-mĂȘme n’est pas une science, mais une manipulation grossiĂšre. La science est comme la vĂ©ritĂ©, elle s’expĂ©rimente, se parcourt tel un chemin de connaissance. Ce chemin, comprenez-le encore une fois, est individuel. Je veux dire que nul ne peut faire de science Ă  votre place. Gravez bien cette phrase en vous. Les scientifiques n’intercĂšdent pas entre vous et la connaissance, pas plus que les prĂȘtres n’intercĂšdent entre vous et le divin. Un scientifique dans toute sa beautĂ© est une montagne d’humilitĂ© et le reprĂ©sentant d’un chemin parcouru Ă  la lumiĂšre de la raison. Il n’avance aucune certitude mais vĂ©hicule dans son sillage une onde pure de contemplation, de questionnements, d’enthousiasme Ă  toujours comprendre plus et mieux l’univers des causes et des consĂ©quences. Retenez ceci comme indicateur important lorsqu’il y a certitude, soyez certains qu’il y a manipulation. Ta phrase est Ă©tonnante tu nous encourages Ă  ĂȘtre certains. Cela veut dire que tu nous manipules ? Exact ! Nul ne peut vous rendre certain, si ce n’est votre expĂ©rience. Ainsi, si quelqu’un tente d’imposer sa vision des choses et sa volontĂ©, c’est une manipulation. Et Ă  cette manipulation, jamais vous n’ĂȘtes obligĂ©s d’adhĂ©rer. Tu me diras qu’il y a un prix. Oui, ce prix peut ĂȘtre la perte de votre corps, ce que vous appelez la mort. De mon point de vue, ce que je nomme la mort est votre Ă©tat de soumission, de non souverainetĂ©. Ce que je nomme la vie, c’est la libertĂ© du choix. Renseignez-vous, faites agir en vous toutes les sources lumineuses, incluant la raison, la logique, et prenez enfin la responsabilitĂ© de vos choix de vie. La vĂ©ritĂ© Ă  laquelle vous aurez accĂšs sera alors irrĂ©mĂ©diablement plus Ă©clatante que celle que d’autres tentent de vous vendre. Cette vĂ©ritĂ© est sans nul doute, parce qu’elle se fond en votre volontĂ© propre. DĂ©couvrir ou redĂ©couvrir ce pouvoir en vous, c’est tout ce que je vous souhaite, amis. Merci, Ishtar ! Merci. Et
 ne me croyez pas, n’est-ce pas ? Certainement. 🙂 ÉnoncĂ©La recherche de la vĂ©ritĂ© peut-elle se passer du doute ? © 2000-2022, rue des Ă©coles Dans notre quotidien, nous aimons certaines choses auxquelles nous sommes vĂ©ritablement attachĂ©s et qu’il nous est souvent difficile d’abandonner. Cela peut ĂȘtre entre autres un comportement, des vĂȘtements, des affaires, des enfants, un conjoint, un pĂ©chĂ©, des biens matĂ©riels
 S’il existe le renoncement total c’est qu’il est possible de renoncer partiellement ou Ă  moitiĂ©. Or la Bible nous enseigne que pour quiconque renonce Ă  moitiĂ© n’est digne du Royaume de Dieu. LUC 9 62 LSB JĂ©sus lui rĂ©pondit Quiconque met la main Ă  la charrue, et regarde en arriĂšre, n’est pas propre au royaume de Dieu. Le renoncement. Selon le dictionnaire, le renoncement c’est l’action de renoncer Ă  quelque chose, de cesser de rechercher ce Ă  quoi on tenait, de s’en dĂ©tacher. C’est aussi une attitude vertueuse qui pousse Ă  sacrifier les satisfactions personnelles en vue d’une plus grande perfection morale. Le renoncement total c’est le fait de sacrifier ce Ă  quoi l’on tient Ă©normĂ©ment. Dans notre contexte, renoncer revient Ă  s’abandonner corps, Ăąme et esprit Ă  JĂ©sus-Christ notre Seigneur et Sauveur. L’autre aspect du renoncement, c’est qu’il implique le fait de se dĂ©pouiller pour la cause du Seigneur et pour Son amour manifestĂ© Ă  notre Ă©gard. Ce qui est le plus important pour nous dans le renoncement, c’est de faire la volontĂ© du Seigneur dans tous les aspects de notre vie. Il te sera difficile d’ĂȘtre un vrai disciple de JĂ©sus-Christ si tu ne renonces pas totalement Ă  toi-mĂȘme ton Ă©go. Lorsque tu ne connais pas la valeur ou l’importance du sacrifice de JĂ©sus Ă  la croix, le renoncement total sera un vĂ©ritable fardeau pour toi. Pourquoi renoncer totalement ? Le Seigneur a toujours composĂ© avec des personnes qui se sont livrĂ©es Ă  Lui comme des sacrifices vivants. C’est pourquoi l’apĂŽtre Paul s’adressant aux Romains dit Romains 12 1 LSB Je vous exhorte donc, frĂšres, par les compassions de Dieu, Ă  offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agrĂ©able Ă  Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. En rĂ©alitĂ©, le renoncement Ă  nous-mĂȘmes et au monde rĂ©sulte de notre attachement Ă  Christ. Aussi, renoncer totalement fait de nous des vases d’honneur utiles pour le MaĂźtre et pour toutes bonnes Ɠuvres. 2TimothĂ©e 2 21 LSB Si donc quelqu’un se conserve pur, en s’abstenant de ces choses, il sera un vase d’honneur, sanctifiĂ©, utile Ă  son maĂźtre, propre Ă  toute bonne Ɠuvre. De ce fait, il est de notre intĂ©rĂȘt de renoncer totalement car le Seigneur utilise puissamment ceux qui ont totalement renoncĂ© Ă  eux-mĂȘmes, au monde et ses plaisirs. Marc 10 29 LSB JĂ©sus rĂ©pondit Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, il n’est personne qui, ayant quittĂ©, Ă  cause de Moi et Ă  cause de la bonne nouvelle, sa maison, ou ses frĂšres, ou ses sƓurs, ou sa mĂšre, ou son pĂšre, ou ses enfants, ou ses terres, Il est quasi impossible Ă  un chrĂ©tien de s’attacher aux choses du monde et Ă  Dieu concomitamment. Matthieu 6 24 LSB Nul ne peut servir deux maĂźtres. Car, ou il haĂŻra l’un, et aimera l’autre; ou il s’attachera Ă  l’un, et mĂ©prisera l’autre
 C’est une question de choix, soit tu dĂ©cides de t’attacher Ă  Dieu en renonçant au monde et ses convoitises ou t’attacher au monde et Ă  ses convoitises en reniant Dieu. Renonce totalement Ă  toi-mĂȘme et au monde avec ses plaisirs pour voir la main agissante de Dieu. Amen ! Diffusion du dĂ©bat enregistrĂ© le 6 octobre dans le grand amphithéùtre de la Sorbonne Ă  Paris, en public, Ă  l’occasion de la 27e Ă©dition de la FĂȘte de la science oĂč France Culture organisait le forum Les idĂ©es claires. Les invitĂ©s Jean-Claude Ameisen, mĂ©decin, chercheur, professeur d’immunologie Ă  l’UniversitĂ© Paris Diderot et producteur de l'Ă©mission Sur les Ă©paules de Darwin sur France Inter FrĂ©dĂ©ric Worms, philosophe, professeur Ă  l'ENS et directeur du Centre international d’étude de la philosophie française contemporain Savez-vous quel mot a Ă©tĂ© Ă©lu mot de l’annĂ©e en 2016 par le Dictionnaire d'Oxford ? Post-truth ». Et depuis, la post-vĂ©ritĂ©, qui traduit une situation oĂč les Ă©motions et les opinions supplantent la rĂ©alitĂ© des faits, accompagne tous les discours et alimentent les dĂ©bats. Son utilisation a connu une explosion en 2016 avec le rĂ©fĂ©rundum du Brexit au Royaume Uni, et l’élection de Donald Trump aux Etats Unis. Qu’est-ce qui dans cette expression serait pertinent au point d’ĂȘtre brandi Ă  chaque tentative de dĂ©finition de notre Ă©poque ? Ou si nous prenons le problĂšme Ă  l’envers qu’est-ce qui dans le mot vĂ©ritĂ© ne suffit plus Ă  caractĂ©riser notre Ă©poque ? La post-vĂ©ritĂ© est-elle le signe d’une agonie de la notion de vĂ©ritĂ© ou le symptĂŽme de sa perte ? Le meilleur moyen d’exprimer notre inquiĂ©tude face Ă  la disparition redoutĂ©e de la vĂ©ritĂ© ? Cette inquiĂ©tude n’est pas nouvelle l’existence d’une vĂ©ritĂ© est prĂ©cisĂ©ment ce qui opposait Platon aux sophistes. On pourrait mĂȘme dire qu’elle a structurĂ© l’histoire de la philosophie et l’histoire de la pensĂ©e depuis les premiĂšres traces Ă©crites que nous en avons. Qu’est-ce qui a alors changĂ© aujourd’hui ? Faudrait-il cĂ©der aux sirĂšnes de la post-vĂ©ritĂ© et renoncer Ă  l’idĂ©e de la vĂ©ritĂ© unique et indiscutable ? Quel serait le prix intellectuel, philosophique, politique et Ă©thique Ă  payer ? Donald Trump ou l'idĂ©ologie du doute systĂ©matiqueC’est la premiĂšre fois qu’on a au sommet du pouvoir, avec Donald Trump, une idĂ©ologie du doute systĂ©matique sur la vĂ©ritĂ©. Tout autoritarisme est fondĂ© sur l’imposition d’un discours, mais je crois que jusqu’ici c’est la premiĂšre fois qu’on a au pouvoir dans une dĂ©mocratie, avec une lĂ©gitimation Ă©lectorale, un pouvoir qui dit il n’y a pas de vĂ©ritĂ©, on peut tout mettre en doute dans tous les sens. FrĂ©dĂ©ric Worms Les vĂ©ritĂ©s et les domaines de validitĂ©Pour les sciences, il y a ce qu’on appelle les domaines de validitĂ© il n’y pas la vĂ©ritĂ© » mais ce qu’on peut approcher le mieux Ă  un moment donnĂ© de la rĂ©alitĂ© dans un domaine. Un astrophysicien qui fait des dĂ©couvertes remarquables sur les galaxies n’a rien Ă  dire Ă  priori sur l’Histoire, sur la biologie du cancer ou la palĂ©ontologie. Mais ensemble, ils peuvent par contre construire une approche transdisciplinaire qui dĂ©passera chacune de ces recherches pour essayer d’avancer. C’est pour ça qu’il y a des » vĂ©ritĂ©s, la recherche de la vĂ©ritĂ© se fait et n’a de sens que si elle est falsifiable et s’opĂšre avec une mĂ©thode particuliĂšre et dans un domaine de validitĂ© particulier. Jean-Claude Ameisen AdĂšle Van Reeth, Jean-Claude Ameisen et FrĂ©dĂ©ric Worms dans le grand Amphithéùtre de la Sorbonne Introduction Le sujet pourquoi vouloir la vĂ©ritĂ© ? », prĂ©suppose que l'Homme est Ă  la quĂȘte de la VĂ©ritĂ©, ici la vĂ©ritĂ© signifie la connaissance, le savoir absolu sur le monde, les choses qui nous entourent et sur nous, les Hommes. Depuis des siĂšcles, les plus grands savants du monde, sont Ă  sa quĂȘte pour ainsi la transmettre Ă  l'Homme. Mais elle a aussi Ă©tait dĂ©formĂ©e, rĂ©futĂ©e par grands nombre de philosophes. Il est donc intĂ©ressant de se demander s'il est nĂ©cessaire que l'homme veuille rechercher la vĂ©ritĂ©, plutĂŽt que de rester dans ses illusions ? Pour commencer, nous dĂ©finirons la VĂ©ritĂ© et analyserons les diffĂ©rentes dĂ©finitions qu'on lui prĂȘte, ensuite nous verrons que la VĂ©ritĂ© est une sorte de libĂ©ration puis enfin nous verrons que malgrĂ© tout , elle est souvent remise en cause. Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiI Qu'est ce que la VĂ©ritĂ© ? En cours de philosophie, c'est une question que tout le monde se pose, mĂȘme Ponce Pilate l'a demandĂ© au Christ et sur lequel on a pu tout dire. A. La dĂ©finition de la VĂ©ritĂ© La VĂ©ritĂ© comme adĂ©quation. Comme le dit St Thomas d'Acquin La vĂ©ritĂ© est l'adĂ©quation de la chose et de l'intellect », et non ce que l'on pense couramment comme Ă©tant seulement le contraire du mensonge ou ce qui n'est pas faux. En effet la VĂ©ritĂ© est le lien entre le RĂ©el et la chose donc seuls nos jugements peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme vrais ou faux. B. La VĂ©ritĂ© et croyance Il est intĂ©ressant aussi de se demander si la VĂ©ritĂ© est une croyance ou si la croyance s'oppose Ă  la VĂ©ritĂ© est la base de la Croyance en toutes les religions, JĂ©sus Christ dit mĂȘme Je suis la VĂ©ritĂ© ». C. la VĂ©ritĂ© selon Socrate Pour Socrate, la VĂ©ritĂ© n'est pas un simple savoir que l'on apprend tous les jours, en effet il pensait que la VĂ©ritĂ© Ă©tait une partie de nous et que seul l'Homme dĂ©tient le pouvoir de la rĂ©veiller, cette VĂ©ritĂ© brĂ»le de se manifester. Socrate se considĂšre comme Ă©tant l'accoucheur de la VĂ©ritĂ© dans l'esprit de l'Homme. Nous verrons dans une prochaine partie que Socrate est en ce sens rejoint par Platon. C'est l'Ă©veil de l'intelligence. II La VĂ©ritĂ© comme Ă©tant une libĂ©ration A La dĂ©livrance de l'ignorance L'ignorance enferme l'Homme et est capable de tuer ou de faire mal. L'ignorance est le fait de ne pas savoir, de ne pas possĂ©der une certaine connaissance. Etre ignorant aujourd'hui c'est regarder une Ă©clipse sans lunettes de protection ou partir dans un pays Equatorial sans mĂ©dicaments contre le paludisme ou sans vaccin contre la fiĂšvre jaune. En cela il est clair qu'on peut dire que l'ignorance blesse plus que la VĂ©ritĂ©, et dans ce cas lĂ , la dĂ©couverte de la VĂ©ritĂ© est primordiale pour l'Homme car elle lui sauve la vie. Une des raisons aussi que l'Homme veuille accĂ©der Ă  la VĂ©ritĂ©, est qu'il en a Ă©tĂ© trop longtemps privĂ©, par exemple pendant plusieurs siĂšcles les messes Ă©taient cĂ©lĂ©brĂ©es en latin, ce qui empĂȘchait le Tiers Etat d'accĂ©der aux paroles bibliques, l'essence mĂȘme de la VĂ©ritĂ© chrĂ©tienne. Pour prendre un exemple plus rĂ©cent, la question des mĂ©faits ou des bienfaits de la colonisation est aujourd'hui d'actualitĂ©, mais la vĂ©ritĂ© sur la colonisation n'est encore pas accessible Ă  tous et encore des gens sont dans l'ignorance et donc en quelques sortes exclus, notamment les jeunes. OĂč trouver des cours de philosophie en ligne ? B L'allĂ©gorie de la caverne de Platon A travers l'allĂ©gorie de la caverne que l'on trouve dans le livre VII de la RĂ©publique, Platon place l'Homme dans une condition d'ignorance, en le plaçant dans un monde obscure, un monde oĂč la lumiĂšre n'est pas. Cette lumiĂšre qui personnifie la lumiĂšre de la connaissance manque Ă  l'Homme, mais ce monde a une ouverture sur la lumiĂšre sur la connaissance, sur la VĂ©ritĂ©. Ce qui montre que l'Homme n'est pas condamnĂ© Ă  l'ignorance et qui peut accĂ©der Ă  la VĂ©ritĂ©. Tout cela est mis en scĂšne par des prisonniers d'une caverne avec leurs jambes et leur cou enchaĂźnĂ©s depuis leur enfance. Platon montre en fait que ces Hommes sont emprisonnĂ©s par leur ignorance, la clef de leur chaĂźne est nul autre que la lumiĂšre, la VĂ©ritĂ© et que eux seuls peuvent y accĂ©der. Leur principal crime est le fait qu'ils croient savoir alors qu'ils ne savent rien alors que le philosophe lui est conscient qu'il ne sait pas, ce qui le rend Grand, la dĂ©couverte de la VĂ©ritĂ© dĂ©tache ses chaĂźnes et le libĂšre des illusions. Cette allĂ©gorie peut ĂȘtre soutenue par l'exemple suivant, la dĂ©couverte de l'hĂ©liocentrisme de GalilĂ©e a Ă©tĂ© rejetĂ©e par l'opinion publique, qui Ă©tait convaincue que la Terre Ă©tait au milieu de l'univers bien que celui-ci avait de solides dĂ©monstrations. C La VĂ©ritĂ© est la source du progrĂšs La VĂ©ritĂ© a permis Ă  l'humain de sortir de l'ignorance et a Ă©tĂ© le moteur qui l'a conduit Ă  la connaissance de soi est du monde qui l'entoure. C'est en cela une libertĂ© et rejoint la GenĂšse, La VĂ©ritĂ© vous affranchira ». Elle a permis aux grands Hommes de dĂ©mentir toutes les erreurs antagonistes comme Aristote qui dĂ©menti que la Terre Ă©tait plate, elle Ă©claire les Hommes, en effet l'on pu voir la faussetĂ© de certains alchimistes qui prĂ©tendaient pouvoir crĂ©er de l'or Ă  l'aide de formules. GrĂące Ă  la VĂ©ritĂ©, l'Homme a des repĂšres, mais nous allons voir que pour certains Hommes il est prĂ©fĂ©rable que la VĂ©ritĂ© n'existe pas. III La remise en question de la VĂ©ritĂ© A Le renoncement Ă  la VĂ©ritĂ© Certain philosophe pense que l'Homme ne doit pas aboutir Ă  la VĂ©ritĂ©, bien qu'ils aient des façons de penser diffĂ©rentes. En effet, Sartre est plus direct quand il dit que la rĂ©vĂ©lation de la VĂ©ritĂ© de l'existence aboutit Ă  l'absurditĂ©. "C'est dans un sens aussi restreint que l'homme veut seulement la vĂ©ritĂ© il convoite les suites agrĂ©ables de la vĂ©ritĂ©, celles qui conservent la vie; envers la connaissance pure et sans consĂ©quence il est indiffĂ©rent, envers lĂ©s vĂ©ritĂ©s prĂ©judiciables et destructives il est mĂȘme hostilement disposĂ©. » Nietzsche veut en fait dire que l'Homme ne veut pas la VĂ©ritĂ© pour elle-mĂȘme, c'est-Ă -dire la connaissance et la dĂ©livrance de l'ignorance comme on le croit. En effet, l'Homme a tendance Ă  choisir sa VĂ©ritĂ© selon Nietzsche, si cette vĂ©ritĂ© le dĂ©valorise, il ne l'acceptera pas, c'est en effet ce qui s'est passĂ© avec la thĂ©orie de Darwin qui place l'Homme dans l'Ă©volution animale, et cette thĂ©orie Ă  Ă©tĂ© violemment rĂ©futĂ© par l'Ă©glise car elle contredisait l'Ecriture, alors que si Darwin avait prouvĂ© que l'Homme descendait d'Adam et Eve il aurait Ă©tĂ© adulĂ© par l'Ă©glise, car il aurait mis fin au doute des gens. C'est ce que Nietzsche veut dĂ©noncer, il recommande mĂȘme Ă  l'Homme de rester dans l'illusion et de renoncer Ă  la quĂȘte de la VĂ©ritĂ©. Le sceptique est proche de la pensĂ©e de Nietzsche car il dit que tout objet est relatif, c'est-Ă -dire que personne ne perçoit une chose de la mĂȘme façon, par exemple une personne peut dire que l'acteur qui joue dans ce film n'est pas trĂšs douĂ© alors qu'une autre personne le trouve plein de talent. C'est pourquoi le sceptique propose de n'Ă©mettre aucun jugement. B Le cogito, la seule certitude Descartes dĂ©clare que la seule certitude que l'Homme doit avoir, c'est le cogito, c'est-Ă -dire je pense donc je suis », pour lui, seul ce cogito est irrĂ©futable, il conclut donc que si une chose peut ĂȘtre dĂ©montrĂ© comme le cogito alors elle est vraie. Pour lui, la VĂ©ritĂ© ne doit pas ĂȘtre comparĂ© aux choses mais par rapport Ă  cette intuition certaine . C L'opinion publique Pour l'opinion publique, la VĂ©ritĂ© n'est pas toujours bonne Ă  dire, en effet elle peut blesser et donc est Ă©viter par les Hommes. Par exemple, lorsqu'un mĂ©decin doit annoncer Ă  son patient qu'il va mourir, il prĂ©fĂšre s'abstenir ou encore lorsqu'un homme renonce Ă  dire Ă  ses parents qu'il est homosexuel par peur de les blesser, il prĂ©fĂšre s'abstenir et ainsi vivre dans le mensonge. L'opinion publique semble avoir peur de la VĂ©ritĂ© ou de la dĂ©couverte de la VĂ©ritĂ©, en effet, on assiste parfois Ă  des parents qui pensent que la philosophie en terminale est trop tĂŽt pour l'enfant, alors que la philosophie est le principe mĂȘme de la quĂȘte de la VĂ©ritĂ©, n'est ce pas plutĂŽt par crainte ou refus de la vĂ©ritĂ© ? Conclusion En conclusion, en peut dire que les opinions sur la recherche de la VĂ©ritĂ© Ă©taient, sont et seront toujours aussi mitigĂ©s, certains Hommes prĂ©fĂšrent rester dans l'illusion, dans l'ignorance par crainte, refus de la VĂ©ritĂ© ou pour ĂȘtre aussi peut ĂȘtre plus libre par exemple faire des actes dangereux comme si la mort ne nous concerne pas. D'un autre cĂŽtĂ©, certains Hommes sont Ă  la recherche de la VĂ©ritĂ© Ă  tout prix et passent par tous les moyens pour parvenir Ă  la VĂ©ritĂ© philosophie, religions, etc... mĂȘme les pires sectes.

douter est ce renoncer à la vérité